Passionnée pour l’écriture, amoureuse pour la culture de son origine, Mme Aïchata kéoulé, auteure de plusieurs ouvrages, avait déjà concrétisé à travers la réalisation des œuvres sociales et des actions humanitaires. Cette fois-ci, elle tourne vers le lancement de la foire aux livres, sinon, le don gratuit de beaucoup de livres à ses compatriotes maliens. L’événement a eu lieu à l’ACI , le samedi 24 août 2024, face à la clinique pasteur. Cette cérémonie a été présidée par la rerésentante du ministre de la promotion de la famille de l’enfant et de la famille, en présence de la directrice de la cité des enfants, des représentants des organisations de la société civile et de nombreux participants
L’ecrivaine s’appelle, Aïchata Kéoulé Boundy, Tenin Mabessaran de kita Mabela, Vice-concentré Ensemble pour une Vie Meilleure au Mali, de l’Organisation Sahel Sans Frontières et Actions pour l’Afrique, résident entre Paris et Bamako
À l’ouverture de travaux, Mme Aïchata Kéoulé Boundy a souhaité les mots de bienvenue pour la foire de livre, la première édition. Selon elle, c’est une occasion d’offrir des livre aux jeunes et aux enfants, parceque, aujourd’hui les jeunes n’ont plus de temps, pour lecteur, grâce aux réseaux et aux internets. Dans une dizaine d’années, si cette génération ne s’intéresse pas à la lecteur, ça sera catastrophe pour la nation. <>, a poursuivi que, c’est vraiment montré que la l’ecture elle est primordiale. Quand on voit dans le temps, il n’avait pas le réseau, ni de l’internet, les gens étaient beaucoup basés sur la lecteur, aujourd’hui dans vingt dernières années, il y’a moins de personnes qui ont temps pour la lecteur. les gens n’ont plus de temps, ils ne lisent pas forcément, c’est très grave. Tous ces jeunes qui ont vingt ans, trente ans, qui garantissent sans lecteur est une catastrophe pour le pays. Aujourd’hui il y’a 65 livres qui étaient dans la valise, qui est 1 tiers. Le 2 tiers il faudrait une solution pour les faire venir à Bamako,a-t-elle déclaré
Mme Traoré Aminata Traoré, représentante du ministre de la Promotion de la Femme de l’Enfant et de la Famille s’est qu’avec l’insigne honneur pour elle de représenter, Dr Coulibaly mariam Maïga. Selon elle, elle a été chargée de remercier, à travers sa voix, Mme Aichata Kéoulé Boundy, pour cette bel initiative. À ce sujet, elle invite toutes les femmes du Mali à encourager les enfants à aller vers la lecteur, parceque sans lecteur on n’est pas cultivé. Sans lecteur les enfants ne peuvent pas avoir des bonne note, a-t-elle avoué
Selon Mohamed lamine Dicko, conseiller en éducation des zones de crise, il faut comprendre qu’il s’agit d’une œuvre de grande solidarité de la part de aïchata, qui a bien voulu mettre toute sa gratitude à la disposition des citoyens, de tout le monde. Aujourd’hui le savoir n’est pas toujours sur internet ou dans le téléphone, il se trouve également dans le livre. Elle est une personne de grande culture, beaucoup de gens ne la connaissent. Nous savons ce qu’elle a, dans sa grandeur d’esprit. Nous connaissons également son amour pour le Mali. Je comprends parfaitement pourquoi bénévolement et gratuitement elle fait ça. Elle pouvait le garder pour elle et pour ses enfants. Elle pouvait les vendre, mais elle a bien voulu garder à la disposition de tout le monde. Je ne fais que la remercier et encourager à œuvrer toujours dans le sens de la solidarité et la générosité envers tous les maliens,a-t-il dit
Selon Mme Aminata Cissé,
Directrice de la cité des enfants,
Qui dit enfants, qui livres, parceque Mme Aïchata sait déjà qu’au niveau de la cité des enfants, nous sommes dans cette dynamique. Nous nous battons beaucoup pour que nos enfants puissent avoir de la place du livre et de la lecteur et nous les insistons beaucoup à la lecteur. Je voudrais remercier ma soeur boundy pour cette belle initiative . Parceque moi aussi, ça m’a donné une idée, c’est une première de participer à une foire de livres parceque moi j’en ai beaucoup mais je ne sais pas comment faire des livre. La lecteur contribue à la santé de cerveau et permettre de découvrir d’autres pays. Parceque quand on rendre dans un pays étranger pour en connaître, il faut se donner à lire le livre pour connaître la réalité locale. Il y’a beaucoup de livres, à moindre coûts, c’est plaisir qu’ils soient gratus,a-t-elle avoué
Saouty Cissé