La Minusma a documenté 632 cas de violations des droits humains au deuxième trimestre, dont 126 sont imputés aux forces de défense et de sécurité.
La spirale de la violence ne cesse de s’aggraver au Mali. Depuis début juin, les populations, déjà victimes d’une guerre contre le terrorisme qui s’éternise et de massacres intercommunautaires réguliers, doivent désormais compter avec un conflit sociopolitique majeur qui déstabilise le pouvoir de Bamako.
Source : le monde.fr